LES CROMOSAURES DE L’ESPACE
Lecture-performance de Wladimir Anselme, d’après son livre-disque éponyme paru chez Actes Sud Junior et illustré par Brecht Evens.
Les Cromosaures de l’Espace est un space-opéra écrit, composé et réalisé par Wladimir Anselme. Un vaisseau erre dans l’espace inconnu. À son bord, le Capitaine et son équipage de robots : Robot-Factotum, Robot-Pistolero, Robot Coup-de-pied-aux-fesses, Robot Oui-et-non, le Comos-traducteur Cosmo-universel… Soudain, les voici encerclés par des centaines de Cromosaures, d’étranges créatures venues des quatre coins de l’espace. Amis ou ennemis ?

En live, Wladimir Anselme restitue à mains nues et avec sa vieille guitare de western, cette aventure cosmo-
sidérante, poétique, humoristique et décalée.

LIENS :
BANDE ANNONCE : https://www.youtube.com/watch?v=XoDNEq9rfoI
UNE CHANSON : https://www.youtube.com/watch?v=lXxFbT-loEk

SCÈNES
Les Cromosaures ont déjà attaqué : Le Salon du livre de jeunesse de Montreuil, les salles de concert Petit-Bain
(Paris), Le Sucre (Lyon), Les Roches (Montreuil), La Datcha (Lausanne), les librairies Le Monte-en-l’air et
l’Atelier à Paris, La Réserve à Bulles (Marseille), La Soupe de l’espace (Hyères), les médiathèques de St Nazaire,
Aix en Provence, Chemille, Pontchateau, Vannes, Epernay, Sevran, Thorigné Fouillard, Genève…

PRESSE
« Cette histoire musicale complètement dingo est avant tout l’occasion, pour l’auteur-compositeur-interprète
Wladimir Anselme, de laisser son esprit et sa musique en roue libre.
Et l’on s’amuse beaucoup, comme lui-même et son équipage, de ses trouvailles incongrues, de ses jeux de mots, de
ses sons (très bien) choisis et des illustrations rétro-futuristes de Brecht Evens qui nous téléportent dans les séries
cultes des années 1960 ! »
Gilles Avisse, PARIS MÔMES

« C’est écrit et conté par Wladimir Anselme, un chanteur qu’on aime bien, toujours un peu dans les nuages. C’est
dire si ça lui va bien d’écrire sur les extra-terrestres. C’est dire aussi s’il s’est fait plaisir, comme le gamin qu’il est
resté, et que ça se sent, ça se partage. »
Michel Kemper, NOS ENCHANTEURS